FAQ Hypnose et EMDR

Une séance d’hypnose ou d’EMDR à Bruxelles dure 1H30 pour 90 €.

Si vous vous dites qu’il vaut mieux prendre une forfait de 6 séances pour 6 semaines de suivi, ça vous revient à 500 €.

Si vous préférez choisir l’équivalent de 3 mois d’accompagnement avec 12 séances, cela vous revient à 950 €.

Suivre une séance d’EMDR, c’est accepter de parler d’un traumatisme. Alors oui, des sensations désagréables peuvent remonter.

Mais l’objectif thérapeutique est de ne traiter qu’une facette du traumatisme à la fois. Cela rend la situation plus gérable et permet de mieux se sentir petit à petit tout au long de la séance.

Non, l’hypnose est un état naturel comme par exemple lorsque vous êtes absorbé.e dans un livre ou en mode « automatique » en train de conduire.

Simplement l’hypnose est une manière de provoquer cet état pour vous aider en thérapie. Il est impossible de rester bloqué.e dans vos rêveries ou en mode automatique, c’est la même chose pour l’hypnose.

Non.

Lors de différentes guerres, l’hypnose a été testée pour obtenir des secrets de guerre. Résultat : on s’est rendu compte qu’il est impossible de forcer la vérité en hypnose et que la personne peut même mentir.

Non. Dans un tel cas, vous sortez d’hypnose, car ce qui est demandé est en confrontation avec vos valeurs.

Lors de l’hypnose de spectacle, l’hypnotiseur.euse demande des volontaires, qui sont dans un état d’esprit d’accepter des demandes non conventionnelles. Sur une salle de 200 personnes, seules 5-10 personnes seront gardées, après différents tests, pour leur réceptivité à l’hypnose.

Comme la majorité des gens. Vouloir garder le contrôle n’est pas incompatible avec l’hypnose.

Mais en effet, il y a une démarche volontaire de votre part. Différents tests permettent de savoir quelles méthodes d’induction en hypnose fonctionnent mieux pour chaque type de personnalité.

C’est difficile à dire.

L’hypnose et l’EMDR sont des méthodes de thérapie brève. Cela veut dire que dans la majorité des cas, une solution durable est trouvée dans les 10 séances.

Chez certaines personnes, en fonction de leur sensibilité à l’hypnose /EMDR, des effets très significatifs peuvent être ressentis dès la 1ère séance et le problème solutionné en 1 ou 2 séances.

Il s’agit de 2 choses complémentaires.

Chez un psy, vous travaillez sur des souvenirs conscients. Aussi, un.e psy peut conseiller une hypnothérapie pour accéder à des souvenirs et des traumas enfuis dans l’inconscient.

En hypnose, chaque séance gère un aspect défini d’une problèmatique. Or dans certains cas, des problématiques sont énormément multifactiorelles. Il s’agit d’une des limites de l’hypose où un hypnothérapeute pourra vous conseiller de rencontrer également un.e psychologue.

L’hypnose spirituelle part du principe que chaque âme habite un corps et retournera dans un monde « sensible » après la mort pour peut-être se réincarner ultérieurement.

L’hypnose spirituelle permet d’accéder à ce monde sensible.

Ce monde sensible est-il réèl ou imaginaire ? Cela n’arrête pas de faire couler de l’encre.

Encore à l’heure d’aujourd’hui, les scientifiques ne sont pas d’accord.

Ceux qui affirment que ce monde existe s’appuient sur plusieurs milliers de témoignages qui convergent et sont similaires, peu importe d’où ils viennent. Des scientifiques comme Michael Newton, Dolores Cannon, Gary Schwartz cartographient ce monde « invisible », sur base d’expériences scientifiques simples ou en double aveugle.

D’autres scientifiques expliquent que les protocoles appliqués lors de ces expériences ne sont pas fiables ou que la répétition des réponses n’est pas significative ou que le scientifique en question n’est pas neutre.

Ce qu’il faut en retenir, c’est ce qui est important pour vous. L’origine des réponses qui font sens pour vous est-elle importante ?

Lors d’une séance d’hypnose spirituelle, le thérapeute n’insufle aucune réponse. Dans certains cas, les réponses se déroulent dans votre tête et non oralement. De ce fait, le thérapeute ne sait rien des réponses qui vous viennent concernant votre problématique.

L’objectif ici n’est pas de donner une réponse définitive, mais de citer certaines expériences significatives qui ont eu lieu autour de cette question.

Bien sûr pour chaque expérience, il y a de multiples détracteurs et des scientifiques qui réfutent ces expériences…

– 2022, selon un documentaire Allemand sur Arte, 5% de la population va ou a un jour expérimenté l’Expérience de Mort Imminente (EMI / Near Death Experience NDE). Une EMI serait le fait de mourir quelques instants et de revenir à la vie, avec une expérience de ce qui se passe après la mort.

– 2020 Création d’une échelle standardisée de mesure de l’experience de NDE. La C-EMI.

– 2013, Charlotte Marital, neuropsychologue, retrace plus de 2000 expérience de NDE à travers la population mondiale : sensation agréable, tunnel lumineux, vision de proches décédés, défilement de leur vie. Cela pourrait être dû à la libération de neurotransmetteurs durant un court laps de temps. Cette libération pourrait également être une protection du cerveau pour échapper à un événement traumatisant.

– 2008, expérience « Aware » réunissant 15 hôpitaux d’Europe et USA. Pour tester la sortie de corps lors d’une NDE, des papiers sont placés en hauteur. Une personne flottant au-dessus de son corps pourrait prendre connaissance des infos notées sur ces papiers. Sur plus de 330 personnes ayant « survécu » à la mort, 55 ont partagé une expérience NDE, mais ils n’ont pu lire les papiers affichés en hauteur.

– Différentes possibilités peuvent amener à une sortie de corps : méditation, pilote d’avion, manque d’oxygène, orgasme, drogue, traumatisme…

– Le manque d’oxygène du cerveau générerait une vision d’un tunnel de lumière.

– 2004, Selon le neurologue Hans Dreyer, après la mort, durant +/- 30 secondes, il y aurait une reconcentration de l’oxygène restant dans le cerveau qui créerait une suractivité cérébrale. A l’origine des NDE ?

– 2001, Gary schwartz, psychologue et psychiatre, établit un protocole pouvant prouver qu’une âme défunte peut communiquer avec les vivants. Il réalise une étude scientifique en double aveugle, via médium. Dans une des ses études, 5 personnes au USA et Europe sont suivies scientifiquement. 2  médiums recueillent des infos des proches défunts de ces 5 personnes. Les infos récoltées racontent la vie de ces 5 personnes et donnent des messages personnels à celles-ci. Résultats : ces 5 personnes estiment que les infos récoltées sont fiables et vérifiables à 80%. En 2007, il tente à prouver via des appareils photonsensibles la présence d’âme(s) à un moment T. En 2009, via des appareils encore plus sensibles, il démontre qu’il y a différents types de « présences ».

1997 Michael Newton, psychologue, écrit un livre où il retrace, via l’hypnose spirituelle, l’expérience de plusieurs milliers de personnes ayant été dans le monde « sensible ». En 2007, il écrit « Souvenirs de l’au-delà » où sur base de milliers de témoignages, il cartographie l’au-delà.

1983 L’échelle de Greyson établit une échelle scientifique pour établir si une personne a réellement vécu une expérience de mort imminente.

1970 Dolores Cannon, hypnothérapeute, désire prouver le contenu des séances d’hypnose de vies antérieures vécues par plusieurs milliers de patients. Elle réalise des rapports strictes de faits historiques obtenus sous hypnose. Elle les  compare à des données scientifiques concernant l’époque vécue. En 1993, elle décrit ce qui se passe entre 2 réincarnations. En 1998, elle prouve via des séances d’hypnoses devant de nombreux scientifiques, que l’âme peut avoir des vies antérieures, et également des vies sur d’autres plans que celui terrestre.

1907 Duncan MacDougall pèse 6 personnes mourantes avant et après leur mort. Différence : 21 gr, le poids de l’âme selon lui.